Don Juan, Don Juan Ton nom sonne comme une menace A chaque femme que tu enlaces Don Juan, Mais qui pourra prendre une place Dans ce coeur qui ne bat pas vraiment Don Juan, Toi qui me fais encore souffrir C’est pour toi que je crains le pire
Faut-il donc que tu les méprises Toutes ces femmes qui t’ont aimé? Que la sueur sur ta chemise Ne soit leur unique bûcher. N’as-tu jamais connu l’amour? N’as-tu pas peur de les manquer Toutes ces femmes qui n’avaient qu’un jour Contre une vie à te donner.
Don Juan, Don Juan Lequel est le plus malheureux Même si l’amour divise en deux Don Juan, C’est pas toujours celui qui pleure Qui fera la plus grande erreur Don Juan, Demande pardon tu verras Peut-être que quelqu’un t’entendra.
Faut-il donc que tu les méprises Toutes ces femmes qui t’ont aimé Que la sueur sur ta chemise Ne soit leur unique bûcher N’as-tu jamais connu l’amour N’as-tu pas peur de les manquer Toutes ces femmes qui n’avaient qu’un jour Contre une vie à te donner.
Faut-il donc que tu les méprises Toutes ces femmes qui t’ont aimé Que la sueur sur ta chemise Ne soit leur unique bûcher N’as-tu jamais connu l’amour N’as-tu pas peur de les manquer Toutes ces femmes qui n’avaient qu’un jour Contre une vie à te donner.
Faut’il que tu cherches partout Sans être sûr de le trouver? C’est pas parce qu’on aime beaucoup Qu’on sera plus fort pour aimer. Ce n’est que sur un coeur de pierre Que tu les serres tour à tour. Prends garde que ce ne soit l’enfer, La dernière ombre de l’amour
Et qu’il ne reste que le diable Comme seul invité à ta table.