Lorsque l’on tient Entre ses mains Cette richesse Avoir vingt ans Des lendemains Pleins de promesses Quand l’amour sur nous se penche Pour nous offrir ses nuits blanches Lorsque l’on voit Loin devant soi Rire la vie Brodée d’espoir Riche de joies Et de folies Il faut boire jusqu’à l’ivresse Sa jeunesse
Car tous les instants De nos vingt ans Nous sont comptés Et jamais plus Le temps perdu Ne nous fait face Il passe Souvent en vain On tend les mains Et l’on regrette Il est trop tard Sur son chemin Rien ne l’arrête On ne peut garder sans cesse Sa jeunesse
Avant que de sourire et nous quittons l’enfance Avant que de savoir la jeunesse s’en fuit Cela semble si court que l’on est tout surpris Qu’avant que le comprendre on quitte l’existence
Lorsque l’on tient Entre ses mains Cette richesse Avoir vingt ans Des lendemains Pleins de promesses Quand l’amour sur nous se penche Pour nous offrir ses nuits blanches Lorsque l’on voit Loin devant soi Rire la vie Brodée d’espoir Riche de joies Et de folies Il faut boire jusqu’à l’ivresse Sa jeunesse
Car tous les instants De nos vingt ans Nous sont comptés Et jamais plus Le temps perdu Ne nous fait face Il passe Souvent en vain On tend les mains Et l’on regrette Il est trop tard Sur son chemin Rien ne l’arrête On ne peut garder sans cesse Sa jeunesse...